Les erreurs à éviter dans la gestion des équipements en télétravail
Le télétravail s’est imposé comme un modèle durable dans les PME et scale-ups. Mais derrière cette flexibilité se cache un défi logistique et financier : la gestion des équipements informatiques à distance. Mal maîtrisée, elle peut générer des pertes, des risques de sécurité et des tensions internes. Voici les erreurs les plus fréquentes, et comment les éviter.
1. Ne pas formaliser l’attribution du matériel
Envoyer un ordinateur ou un smartphone sans traçabilité claire, c’est prendre le risque de perte, de litige ou de mauvaise utilisation. Chaque équipement doit être attribué avec un document signé, une checklist et un suivi dans un outil centralisé.
Astuce Cleaq : notre plateforme permet de suivre chaque poste, son statut et son historique d’attribution.
2. Oublier les règles de sécurité à distance
Un poste en télétravail est plus exposé aux risques : connexions non sécurisées, usage personnel, absence de mises à jour. Ne pas définir de charte d’usage ou de protocoles de sécurité expose l’entreprise à des failles critiques.
Bon réflexe : imposer le chiffrement, les VPN, et des mots de passe robustes dès l’installation.
3. Négliger l’inventaire et le suivi des retours
Sans processus clair de restitution, les équipements peuvent être oubliés, perdus ou réutilisés sans contrôle. Cela complique les audits, les renouvellements et les arbitrages financiers.
Solution : intégrer l’offboarding matériel dans les processus RH, avec checklist et logistique intégrée.
4. Sous-estimer les coûts cachés
Livraisons multiples, pannes non anticipées, matériel inutilisé… Le télétravail peut générer des coûts indirects importants si le parc n’est pas optimisé. Une gestion proactive permet de limiter les dépenses et d’améliorer la rentabilité.
Outil utile : un tableau de bord IT pour suivre les usages, les incidents et les renouvellements.
5. Laisser RH et IT travailler en silo
La gestion des équipements en télétravail concerne autant les RH que la DSI. Sans coordination, les décisions sont fragmentées, les processus ralentis et les collaborateurs mal accompagnés.
Bonne pratique : créer un workflow partagé RH/IT pour fluidifier les demandes, les attributions et les retours.
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